Au cœur de l’Afrique de l’Ouest, dans le tumulte vibrant de la vie médiatique béninoise, se joue une étape cruciale, un véritable rite de passage pour le secteur : l’élection des représentants des médias à la HAAC. Depuis des années, cette élection est bien plus qu’un simple scrutin ; c’est une bataille d’idées, de stratégies, de loyautés et de visions pour l’avenir du journalisme dans le pays. Ceux qui y participent savent qu’ils entrent dans une arène où chaque voix compte, où chaque alliance se tisse dans la discrétion des couloirs, et où chaque discours peut faire basculer le destin d’un secteur tout entier. La tension est palpable, comme une électricité dans l’air, chaque acteur cherchant à convaincre, à rallier, à s’imposer. Dans ces moments-là, le pays tout entier retient son souffle, car la composition du futur Conseil de la HAAC influencera la liberté de la presse, la diversité des voix, et la santé démocratique de la nation. C’est une course contre la montre, où chaque déplacement, chaque rencontre, chaque mot prononcé devient une pierre précieuse dans l’édifice de la démocratie naissante.
Les rédactions, véritables foyers d’idées et de débats, se transforment en véritables champs de bataille. On y voit des échanges passionnés, parfois des confrontations, mais aussi des stratégies invisibles qui se tissent dans l’ombre, loin des regards. Les grands électeurs, figures influentes dans le secteur, sont sollicités dans chaque grande ville : Abomey-Calavi, Porto-Novo, Cotonou, Lokossa, Parakou. Ces villes souvent considérées comme les poumons de la démocratie médiatique, deviennent des terrains d’alliance où se négocient des soutiens, où se scellent des pactes, parfois à l’insu des regards extérieurs. Les discussions se poursuivent dans les cafés, lors de rencontres clandestines, ou dans des réunions plus officielles, mais toujours empreintes de cette tension palpable. Chacun sait que le choix de ces grands électeurs déterminera la marche future du secteur, et que leur loyauté peut faire basculer le scrutin. C’est une danse délicate, entre stratégies et convictions, où l’on joue gros, où l’on mise sur des alliances solides pour espérer décrocher la victoire.
Au fil des semaines, la campagne s’intensifie, déployant ses subtilités et ses stratégies. Les discours se font plus mordants, les promesses plus audacieuses, et chaque acteur cherche à se démarquer. Mais au-delà des discours, c’est dans la discrétion et la finesse que se jouent les véritables enjeux. Les soutiens se nouent dans l’ombre, les alliances se renforcent ou se brisent, et la rumeur circule à haute voix : qui sera le candidat capable de transcender les clivages, de fédérer les médias et de porter une vision innovante pour le secteur ? La campagne devient alors une véritable aventure humaine, où la passion pour la liberté d’expression s’entrelace avec la volonté de laisser une empreinte durable. Les candidats multiplient les rencontres, les échanges, cherchant à convaincre même les plus hésitants, dans cette course effrénée pour la place tant convoitée. La tension monte, l’heure approche, et chaque regard se tourne vers celui qui incarnera l’espoir de tout un secteur.
Mais dans cette ambiance électrique, un nom revient avec insistance dans les couloirs du pouvoir et des grandes rédactions : celui de Basile Tchibozo. Ce candidat, dont la détermination et l’expérience ne laissent personne indifférent, suscite autant d’espoirs que de controverses. Sa stature, ses idées novatrices, sa capacité à rassembler autour de lui, en font une figure incontournable de cette campagne. On raconte qu’il a su tisser des liens dans toutes les grandes villes stratégiques, qu’il a su convaincre par sa vision et son engagement sincère pour le secteur médiatique.
Son homme de main, fin stratège, Michel AHONON s’investit pour baliser tout terrain non conquis. Il a derrière lui, toute une équipe loyale et très déterminée à prendre une revanche. Pour Michel AHONON, « la notoriété du candidat Basile Tchibozo dépasse désormais les frontières de son propre cercle, et son nom se murmure dans les couloirs du pouvoir, comme celui d’un futur leader capable de transformer en profondeur la presse béninoise ». Mais attention, la compétition s’annonce assez rude. Toutefois, beaucoup savent qu’il faut compter sur ses alliances, ses stratégies d’approche dans les grandes villes, où chaque voix peut faire pencher la balance. La confiance en celui qui pourrait incarner le changement est palpable, et les jours à venir s’annoncent décisifs dans cette aventure électorale.
Les quartiers bouillonnent au rythme des rencontres, des discours, et des stratégies secrètes. La tension est à son comble, car chaque camp sait que l’élection n’est pas qu’un simple scrutin : c’est une étape décisive pour le secteur des médias, pour la démocratie et pour la liberté d’expression. Dans les cafés, dans les salles de réunion, on discute à voix basse, on échange des regards complices, on scelle des alliances imprévues. Les grandes villes comme Abomey-Calavi, Porto-Novo, Cotonou, Lokossa et Parakou deviennent des foyers d’alliances où les jeux d’influence se jouent, où chaque soutien peut faire la différence. La campagne, bien que souvent tumultueuse, est aussi l’expression d’une passion profonde pour un secteur qui aspire à plus de transparence, d’intégrité et de progrès. La ferveur se lit dans chaque regard, chaque geste, chaque mot prononcé, témoignant de l’enjeu immense que représente cette élection pour le futur du secteur médiatique béninois.
Dans cette atmosphère chargée d’émotion et de stratégies, le nom de Basile Tchibozo se détache de plus en plus. Sa notoriété grandit à chaque étape, dans chaque rencontre, dans chaque couloir où l’on parle en secret. Son nom s’impose comme une référence, une figure de confiance pour une majorité, un candidat capable de rassembler et de transformer. À mesure que l’élection approche, il devient évident que ses alliés se multiplient, que ses supporters croient en sa vision, et que son nom, désormais chuchoté dans les cercles du pouvoir, incarne l’espoir d’un secteur médiatique renouvelé. La grande question reste ouverte : sera-t-il celui qui portera la bannière du changement, celui qui marquera de son empreinte la 7e mandature de la HAAC ? Seul le scrutin le dira, mais une chose est certaine : dans ce jeu d’alliances et de couloirs, son nom sera sans doute celui qui résonnera le plus fort dans l’histoire médiatique béninoise.
L’audace de réformer le secteur des médias
Le 3 avril 2024 marque une étape importante dans le processus électoral de la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) au Bénin, avec la déclaration officielle de candidature de Basile Tchibozo. Potentiel candidat à la 7e mandature, il a profité de cette occasion pour partager ses motivations, ses visions et ses ambitions pour le secteur des médias, tout en soulignant l’importance cruciale de cette institution dans la vie professionnelle des acteurs des médias.
Dès ses premiers mots, Basile Tchibozo a salué l’organisation de la CENA (Commission Électorale Nationale Autonome), où il a déposé ses dossiers. Il a loué la rigueur et la conformité du dispositif, témoignant d’une organisation pratique et efficace, capable d’accueillir les candidatures dans le respect des normes. Cette reconnaissance souligne l’engagement du secteur à assurer la transparence et le sérieux dans le processus électoral. Pour lui, il ne s’agit plus simplement d’un jeu, mais d’un enjeu majeur. La HAAC est devenue une institution essentielle, représentant 98% de la vie professionnelle des médias. Basile Tchibozo insiste sur la nécessité pour les acteurs de cette sphère de s’investir pleinement pour faire évoluer la situation, en mettant en avant la responsabilité collective de relever les défis du secteur.
Un candidat respectueux de l’adversaire
Dans sa déclaration, Basile Tchibozo a évoqué la complexité du contexte actuel des médias au Bénin. Il a souligné que le monde des professionnels des médias traverse une période de grande difficulté, marquée par une souffrance énorme, des réformes en cours, et une crise structurelle des entreprises de presse. La baisse des financements étatiques, la dégradation des maisons de médias et la faiblesse des faîtières illustrent ces défis alarmants. Basile Tchibozo a aussi évoqué l’absence de conditions fondamentales comme la convention de travail, l’assistance sanitaire, et un plan de carrière pour les journalistes. La valeur de la carte de presse, symbole de leur statut, n’est pas pleinement reconnue ou valorisée, ce qui fragilise la profession et compromet son développement.
Basile Tchibozo se montre résolument tourné vers l’action. Il veut impulser des réformes rapides et efficaces, en collaboration avec tous les acteurs du secteur. Il appelle à une « thérapie de choc » pour atténuer les drames humains et professionnels vécus par les médias, en proposant des mesures concrètes pour améliorer leurs conditions de travail et leur reconnaissance. Il insiste également sur une gouvernance plus participative au sein de la HAAC. Basile Tchibozo souhaite promouvoir la concertation interne, afin que les décisions importantes soient prises en collaboration et que les dossiers soient examinés par les acteurs eux-mêmes avant d’être soumis au plénière. Cela, pour renforcer la transparence, la légitimité et l’efficacité de l’institution.
Une approche inclusive, décentralisée et une foi en Dieu
Basile Tchibozo prévoit également une campagne de proximité, dans toutes les régions du Bénin : Cotonou, Calavi, Porto-Novo, Bohicon, Natitingou, Parakou, Lokossa… Il souhaite rencontrer les acteurs des médias, qu’ils soient jeunes ou expérimentés, journalistes, graphistes, photojournalistes, web-médias, journalistes sportifs ou JRI. Son objectif est clair : ne laisser personne de côté, bâtir une maison commune où chaque voix compte. Le candidat Basile Tchibozo met en avant sa volonté de servir la profession avec dévouement, en s’appuyant sur une expérience et une connaissance approfondie du secteur. Il espère, par la grâce de Dieu, faire partie de la 7e mandature de la HAAC pour continuer le travail de réforme, de défense et de valorisation des médias béninois.
Basile Tchibozo en tête, rien encore sûre…
Après un scrutin très attendu, c’est finalement Basile Tchibozo qui semble sortir en tête avec 207 voix, contre 204 pour son rival de toujours, Franck Kpotchémè. La différence est minime, mais elle pourrait faire toute la différence. Dans la catégorie presse écrite, le soutien solide de Basile Tchibozo lui a permis de décrocher cette victoire, laissant Franck Kpotchémè, le conseiller sortant, dans l’attente. Ce dernier a maintenant 48 heures pour déposer ses contestations écrites devant la Cour suprême. Tout reste donc encore possible dans cette élection, et l’on attend de voir si le conseiller sortant décidera de faire appel ou d’accepter la défaite. La suite s’annonce passionnante, avec peut-être encore un rebondissement judiciaire à venir.
Au grand rendez-vous de la Cour Suprême
Dans une démonstration de suspense digne d’un feuilleton à rebondissements, Franck Kpotchémè, malgré la proclamation officielle des résultats par la CENA, n’a pas résisté à la tentation de semer le doute. Au lieu de reconnaître la légitimité de la victoire de Basile Tchibozo, le principal challenger a préféré alimenter la chronique en déposant un recours, espérant peut-être que le suspense continuerait à faire vibrer ses partisans. Cette stratégie va-t-elle convaincre la Cour Suprême ? Le verdict de la haute institution qui rendu après une analyse rigoureuse doit clairement trancher la question. La justice pourra-t-elle retenir de preuve permettant de remettre en cause la victoire de Basile Tchibozo ou va-t-elle simplement conforter la légitimité de l’élection ?
Il faut saluer cette posture héroïque, presque chevaleresque, qui consiste à brandir la menace d’un recours comme un étendard, dans l’espoir de faire vibrer la salle d’audience d’un frisson d’incertitude. Tout le monde sait que le dénouement semble écrit d’avance, mais le conseiller sortant Franck Kpotchémè, fidèle à sa réputation de tacticien, veut ajouter une couche supplémentaire de suspense à cette pièce déjà bien orchestrée. La Cour suprême, quant à elle, se voit interpellée dans cette joute judiciaire, comme si elle était la dernière forteresse de la vérité face à un enjeu si crucial. Et ainsi, le théâtre de la politique et de la justice continue, promettant encore de nombreux rebondissements, tandis que le public, suspendu à chaque mot, se demande si, oui ou non, cette épreuve judiciaire viendra troubler le calme apparent de cette élection. Car, après tout, n’est-ce pas dans le suspense que résident le véritable enjeu et la grandeur de l’art de la politique ?
Il faut saluer ici la neutralité exemplaire de la Cour Suprême, qui, dans l’exercice de ses fonctions, a su faire abstraction des passions et des pressions pour rendre une décision claire et définitive. Elle a simplement rejeté le recours pour défaut de preuve et elle a rappelé que dans la démocratie, la légitimité ne se décrète pas par délibérations hasardeuses ou par des tentatives de manipulation de l’opinion. La haute instance judiciaire a ainsi joué son rôle d’arbitre impartial, mettant fin à toute spéculation inutile et consolidant la crédibilité du processus électoral, malgré les tentatives de déstabilisation. Ce verdict, accueilli avec une satisfaction non dissimulée par les partisans de Basile Tchibozo, marque un tournant dans cette élection mouvementée. La démarche du conseiller sortant Franck Kpotchémè, qui semblait vouloir instaurer un climat de doute persistant, n’a finalement pas résisté à la rigueur de la justice. La conclusion est sans appel : la vérité judiciaire a confirmé la victoire légitime de Basile Tchibozo lors de cette 7ème mandature à la HAAC. Il est désormais clair que, dans ce jeu de pouvoir et de crédibilité, la justice a tranché, laissant derrière elle toute illusion de suspense supplémentaire.
L’itinéraire de Basile Tchibozo : Une véritable odyssée de dévouement
Basile Tchibozo, figure emblématique de la presse écrite béninoise, incarne avec éclat l’abnégation, la détermination et le dévouement exclusifs à la cause de ses confrères médiatiques. Connu et respecté dans les hautes sphères de la presse nationale, le promoteur du Groupe de presse « Le Challenge » se distingue par une soif inextinguible de risque, une ténacité légendaire et une quête incessante de perfection. Ces qualités, telles des pierres angulaires, lui ont permis de traverser les tumultes du paysage médiatique béninois, de vivre intensément la réalité de la presse locale et de gravir avec brio les échelons de la reconnaissance professionnelle. Président du Conseil National du Patronat de la Presse et de l’Audiovisuel (CNPA-Bénin) de 2016 à 2019, Basile Tchibozo a œuvré sans relâche pour renforcer la visibilité de la corporation, tout en amorçant une dynamique de professionnalisation par la formation des acteurs des médias. Avant cela, il avait déjà marqué de son empreinte le patronat sous l’ère du Président Malick Gomina, actuel député à l’Assemblée nationale, témoignant ainsi de son engagement constant dans la défense des intérêts de la presse.
Attaché rigoureusement au respect de la déontologie et de l’éthique, Basile Tchibozo a également siégé à l’Observatoire de la Déontologie et de l’Éthique dans les Médias (ODEM), sous la houlette de Marie Richard Magnidet. Celui-ci deviendra conseiller élu, représentant de la presse écrite à la Haute Autorité de l’Audiovisuel et de la Communication (HAAC) en 2014, consolidant ainsi son rôle de garant de l’intégrité et de la crédibilité médiatique. Homme de défis et de challenges, Basile Tchibozo détient un diplôme en journalisme, en management des entreprises de presse, ainsi qu’en langue anglaise. Fort d’une expérience de près de quarante ans, dont vingt en tant que patron de presse, il a su faire de son groupe « Le Challenge » un bastion résilient face aux épreuves du temps, s’imposant dans l’univers médiatique béninois et africain. La vision de Basile Tchibozo s’est ainsi élargie, le conduisant à aspirer à un service accru de la presse en qualité de conseiller à la HAAC.
Candidat malheureux à l’élection de 2019, il n’a pas baissé les bras, et, en 2024, il a renoué avec la victoire, triomphant haut la main face au conseiller en exercice, marquant une première historique dans le paysage électoral béninois. Pour Basile Tchibozo, l’intérêt collectif de la corporation prime sur toute considération partisane ou individuelle. En témoignage de cette vision altruiste, il a fondé, avec un groupe de journalistes et de patrons de presse, la Plateforme des Promoteurs et Acteurs pour le Développement des Médias (PADÈM-Bénin), un espace d’échanges, d’expression et d’action, destiné à renforcer la cohésion et le rayonnement de la presse béninoise dans toutes ses composantes.
Une année après, quel niveau d’engagement ?
Un an après son entrée en fonction à la tête de la HAAC, Basile Tchibozo a pu tenir parole ? La presse béninoise, fragilisée par des crises structurelles, attendait avec impatience des réformes audacieuses, une nouvelle dynamique, une gouvernance plus transparente et participative. Un an après l’installation de cette 7ème mandature, qu’en est-il réellement ? Les chantiers prioritaires, tels que la régulation de la déontologie, la valorisation du statut du journaliste, ou encore l’amélioration des conditions de travail, ont-ils connu des avancées significatives ? Ou bien sont-ils restés à l’état de projets, de promesses encore en suspens, dans un contexte où la patience des acteurs se fait de plus en plus fragile ? Il est légitime de se poser la question : Basile Tchibozo a-t-il vraiment réussi à tenir ses engagements ? A-t-il su instaurer une nouvelle culture de dialogue, de concertation, et de transparence au sein de la HAAC ? La décentralisation des actions sur le terrain, notamment la campagne de proximité dans toutes les régions, a-t-elle permis d’impliquer réellement tous les acteurs des médias, des plus jeunes aux plus expérimentés ? Ou s’est-on retrouvé face à une gouvernance encore centralisée, peu audible, peu accessible ? La volonté de bâtir une maison commune, où chaque voix compte, a-t-elle été concrétisée ou reste-t-elle un idéal lointain ?
Ne nous y trompons pas, la réalité dépasse la simple projection. Un an après, on perçoit une véritable révolution en marche. La volonté de changer radicalement la gouvernance de la HAAC, d’instaurer une gouvernance plus participative, plus accessible, s’incarne dans des actions concrètes. La mise en place de mécanismes de concertation, la réforme des procédures, la lutte contre la mauvaise gouvernance et la tentative de redéfinir le rôle de la HAAC dans la vie médiatique du pays indiquent une rupture avec le passé.
Ce fruit est l’ambition du Président de l’institution. Le Président Edouard LOKO parle peu, agit plus et remet chacun à sa place. Certains observateurs avancent même que cette révolution totale pourrait bouleverser en profondeur la manière dont la presse béninoise est régulée et soutenue. La nouvelle gouvernance pourrait non seulement améliorer les conditions des journalistes, mais aussi renforcer la crédibilité de l’ensemble du secteur. La volonté de promouvoir la déontologie, la transparence, et la responsabilisation des acteurs pourrait ouvrir une nouvelle ère où la presse, libérée des vieux carcans, deviendrait un véritable levier de démocratie et de progrès.
Un an après l’installation de Basile Tchibozo dans la chair du Conseiller à la HAAC, ne se retrouve pas enfin à tourner définitivement cette période d’incertitude regrettée des acteurs de la presse béninoise ? Les nombreux défis relevés en un an sous le Président Edouard LOKO ne seraient-ils pas l’expression d’une révolution totale ? Nous voici au cœur d’une histoire de niveau ! Le candidat Basile Tchibozo a pris des engagements qu’il honore en résultats palpables. On assiste effectivement à une transformation radicale, une véritable révolution dans le secteur des médias béninois. La suite de notre dossier dévoilera en détail les grandes actions entreprises par le conseiller Basile Tchibozo depuis son entrée en fonction. Chaque étape, chaque initiative, révélera comment il a concrétisé ses promesses et renforcé la profession médiatique béninoise. Ses réalisations, souvent méconnues, témoigneront de son engagement sincère et de sa capacité à transformer le secteur. Les prochains articles vous permettront de découvrir s’il saura poursuivre cette dynamique positive pour un média béninois en pleine renaissance.
Salle de Presse – Repères Impacts